L’extrême droite est un danger pour nos libertés et la démocratie
Bardella a fait croire qu’il reviendrait sur la retraite à 64 ans… mais finalement, il fait machine arrière.
Même chose pour les salaires. Ils prétendent augmenter le salaire net en supprimant les cotisations sociales. Mais sans cotisations, pas de droits à la retraite, au chômage ou à l’assurance maladie.
Les masques tombent, et ça n’est que le début.
L’extrême droite c’est aussi la fin du droit de grève et des négociations salariales dans les entreprises.
À l’Assemblée nationale, le RN a voté contre l’augmentation du Smic, contre l’indexation des salaires sur l’inflation, contre la revalorisation des petites retraites. Des député·es RN ont même voté contre la constitutionnalisation de l’avortement.
Ils préparent une destruction des services publics en les privatisant, alors que nous en avons déjà de moins en moins.
Bardella est le faux ennemi choisi par Macron qui continuera à œuvrer pour le patronat en dézinguant nos conditions de travail, nos salaires et nos services publics.
C’est un danger pour nos libertés et la démocratie.
Le RN n’est pas un parti comme les autres. Une fois entré à Matignon, il voudra garder le pouvoir à tout prix en s’attaquant à la justice, à la presse, aux syndicats et associations. C’est un danger mortel pour notre démocratie !
On ne se trompe pas de colère, on fait front !
La situation est tellement grave que, dans l’unité, les syndicats prennent leurs responsabilités pour empêcher l’arrivée au pouvoir d’une extrême droite raciste, antisémite, homophobe et sexiste.
Depuis les élections européennes une vague populaire s’est levée : nous avons été des centaines de milliers à participer aux manifestations unitaires et populaires !
Ils nous divisent, la CGT rassemble
Le Nouveau Front Populaire doit répondre aux exigences sociales, comme en 1936 lorsque les salarié·es avec la CGT ont gagné les congés payés !
Rien ne nous sera donné : alertons nos familles, nos ami·es et nos collègues de travail du danger de l’extrême droite.
Le 30 juin et le 7 juillet, nous pouvons mettre enfin à l’ordre du jour des avancées sociales. Pas une voix ne doit manquer !